Frédéric est père d’une petite fille de sept ans. En 2016, peu de temps après sa naissance, son ex-compagne (mère de l’enfant) part avec la nouveau-née pour Madagascar. Aujourd’hui, son combat n’est pas terminé.
Père d’une petite fille de 7 ans, Frédéric n’a pas eu beaucoup de chance avec son ex-compagne. Tout allait bien jusqu’à la naissance de la petite. La famille de la mère n’a pas laissé le père être présent lors de la naissance, et sa femme préparait en cachette le passeport de la petite pour quitter l’île.
Quand Frédéric a compris que la mère allait partir avec leur enfant, il décide de la reconnaitre et de lui donner son nom de famille. À partir de ce moment, il n’avait même plus le droit de voir sa conjointe et son enfant. "Son père a dit au mien : Je ne veux plus que ton fils s’approche de ma fille", déclare Frédéric.
Peu de temps après, la mère l’informe qu’elle est à Madagascar. Pendant 4 à 6 mois, Frédéric va vivre un véritable enfer avant de démarrer des procédures judiciaires. Pendant ce temps, Frédéric voit sa fille très rarement et commence à subir des coups de la part de son ex-conjointe.
Le jour de la convocation devant le juge, la jeune femme porte plainte pour : "Menace de mort et violence". La police ne donnera pas suite à cette affaire. Frédéric affirme qu’il s’agit de faux témoignages de sa famille.
Après 6 longs mois de procédure, la mère de sa fille affirme : "Je veux garder ma file pour moi" et refuse de donner le nom du père à l’enfant sans apporter aucune précision.
Au bout des 6 mois, le 2ᵉ jugement a lieu, et se débouche sur une 1ʳᵉ victoire pour le père : " 1 droit de visite et d’hébergement".
Récemment, le père a remporté la garde alternée après une deuxième procédure judiciaire. La mère garde toujours tous les documents de l’enfant avec elle. Le père ajoutera : "J’aurais pu emmener ces personnes au pénal pour diffamations et plus. Tout cela juste pour pouvoir aimer sa fille face à des individus belliqueux".