La semaine dernière, les négociations ont échoué entre la direction du journal et une délégation de l’intersyndicale CFDT-CFE/CGTR-CGC-SNJ. Ce matin, un comité d’entreprise extraordinaire est organisé après trois jours de silence du côté de la direction. En tant que parlementaire, Huguette Bello s’est rendue dans les locaux du Quotidien pour apporter son soutien.
Après plus d’une semaine de grève, plus de 70% du personnel du Quotidien sont toujours en grève. Les dernières négociations avec la direction ont échoué vendredi 16 juillet. Depuis, aucune sortie de crise n’a été trouvée.
Aujourd’hui, les personnels du Quotidien en grève depuis plus d’une semaine se sont réunis devant les locaux du journal. Tous attendent le compte-rendu du comité d’entreprise extraordinaire qui a commencé à 10h00.
Huguette Bello est allée à la rencontre des salariés du Quotidien. En tant que parlementaire, elle a insisté sur l’importance du "pluralisme des médias". "On ne peut pas rester indifférent à cette grève" a souligné Huguette Bello. Avant d’ajouter : "il faut que le Quotidien continue à vivre".
Pour rappel, les revendications des grévistes restent les mêmes : augmentation de salaires de 150 euros net pour les plus bas salaires de l’entreprise (45 salariés) et une prime exceptionnelle pour les autres.
L’Intersyndicale agit depuis plusieurs jours afin de sensibiliser la population quant aux revendications affichées par le personnel du Quotidien. Des tracts sont distribués afin de présenter "la vérité en chiffres". Voici l’intégralité de ce tract :
"- 1139€ : c’est le salaire d’une employée de presse avec vingt ans d’ancienneté.
1300€ : c’est le salaire d’un journaliste avec deux ans d’expérience.
1800€ : c’est le salaire d’un journaliste avec vingt ans d’expérience.
650.000€ : ce sont les salaires distribués annuellement à 5 dirigeants du journal.
1 million d€ : c’est le montant des dividendes distribués au actionnaires en 2007.
0,8% : c’est le pourcentage du chiffre d’affaires que représente la revendication des salariés du Quotidien.
3,55€ : c’est ce que proposait vendredi 16 juillet la direction du Quotidien par salarié et par mois.
Aujourd’hui, les personnels du Quotidien en grève depuis plus d’une semaine se sont réunis devant les locaux du journal. Tous attendent le compte-rendu du comité d’entreprise extraordinaire qui a commencé à 10h00.
Huguette Bello est allée à la rencontre des salariés du Quotidien. En tant que parlementaire, elle a insisté sur l’importance du "pluralisme des médias". "On ne peut pas rester indifférent à cette grève" a souligné Huguette Bello. Avant d’ajouter : "il faut que le Quotidien continue à vivre".
Pour rappel, les revendications des grévistes restent les mêmes : augmentation de salaires de 150 euros net pour les plus bas salaires de l’entreprise (45 salariés) et une prime exceptionnelle pour les autres.
L’Intersyndicale agit depuis plusieurs jours afin de sensibiliser la population quant aux revendications affichées par le personnel du Quotidien. Des tracts sont distribués afin de présenter "la vérité en chiffres". Voici l’intégralité de ce tract :
"- 1139€ : c’est le salaire d’une employée de presse avec vingt ans d’ancienneté.
1300€ : c’est le salaire d’un journaliste avec deux ans d’expérience.
1800€ : c’est le salaire d’un journaliste avec vingt ans d’expérience.
650.000€ : ce sont les salaires distribués annuellement à 5 dirigeants du journal.
1 million d€ : c’est le montant des dividendes distribués au actionnaires en 2007.
0,8% : c’est le pourcentage du chiffre d’affaires que représente la revendication des salariés du Quotidien.
3,55€ : c’est ce que proposait vendredi 16 juillet la direction du Quotidien par salarié et par mois.
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