Entre 2018 et 2019, un éleveur de bovins a réalisé des travaux pour faciliter l’accès de ses bêtes en plein cœur du Parc national, au niveau du fond de la Rivière de l’Est. On lui reproche, notamment, d’avoir coupé des arbres indigènes. Ce mardi, le tribunal l’a condamné à une peine d’amende avec sursis.