Durant 5 heures ce vendredi, le prévenu, jugé notamment pour banqueroute, abus de faiblesse et biens sociaux s’est présenté comme un homme manipulé. Commercial chez un importateur de voitures de luxe, une société liquidée en décembre 2012, est-il le gérant, alors qu’il avait l’interdiction de gérer ? Le tribunal correctionnel de Saint-Denis rendra sa décision le 5 novembre prochain.