Dans le dossier des prothèses mammaires PIP (Poly Implant Prothèse), une première information judiciaire pour « homicide involontaire » a été ouverte à Marseille. La procédure concerne la mort d’une femme, porteuse de cet implant en 2010 dans le Gers et dont la mère a tout récemment déposé une plainte.