Les Mahoraises sont scandalisées en lisant dans différents médias de l’Océan Indien cette phrase insultante : " Le rythme des constructions scolaires ne pourra jamais suivre le rythme des utérus des Mahoraises ". Il s’agit d’un dérapage verbal attribué à tort ou à raison au vice-recteur de Mayotte, François-Marie Perrin. Démenti formel dans l’entourage de l’intéressé, mais l’affaire fait couler beaucoup d’encre.