L’appel lancé par l’intersyndicale mahorais et le Collectif des citoyens perdus, pour la reprise des manifestations contre la vie chère n’a pas eu l’effervescence escomptée. D’importantes avancées dans les négociations avec les pouvoirs publiques ainsi que l’absence de Boinali Saïd, un des principaux leaders syndicalistes, seraient à l’origine de cette faible affluence, comme le relate la1ère.