Une nouvelle mise en examen dans l’affaire Govindamal : depuis hier, la gérante du comité Miss Réunion est poursuivie pour recel d’abus de biens sociaux. Selon le JIR, des soupçons pèsent sur l’encaissement d’un chèque de 22000 euros émis par l’homme d’affaires à Amida Hussein. Une partie de la somme aurait été encaissée sur son compte personnel. La gérante de la Société Miss Réunion apporte des explications.
La Société Miss Réunion tient à apporter quelques précisions suite à la mise en examen de sa gérante :
"En 2014, la Société Miss Réunion a conclu un partenariat avec l’enseigne Blue Angel, dirigée par Monsieur Gérard Govindamal, partenariat concernant l’élection Miss Réunion 2014, exactement comme les autres partenariats qui sont conclus chaque année avec d’autres personnes ou sociétés" explique Amida Hussein, gérante de la Société Miss Réunion.
"Monsieur Govindamal faisant l’objet actuellement d’une enquête, il est normal que la juge chargée du dossier s’intéresse à toutes les relations d’affaires de Monsieur Govindamal" ajoute Amida Hussein par voie de communiqué.
Dans ce cadre, Amida Hussein assure qu’elle répondra "aux questions de la juge au moment opportun en apportant tous les éclaircissements nécessaires dans ce dossier".
"Etre « mis en examen » ne signifie pas être coupable contrairement à ce que certaines personnes ignorantes s’empressent d’insinuer sans aucune connaissance de l’affaire, uniquement dans le but de créer un climat de suspicion et de ternir l’image de la marque Miss Réunion dans leur intérêt personnel" ajoute la gérante de la Société Miss Réunion.
La Société Miss Réunion se réserve le droit de "porter plainte pour diffamation pour les propos tenus ici et là et violant la présomption d’innocence".