Alors que son fils, le journaliste Kenji Goto, a été exécuté par l’Etat Islamique, une japonaise a exprimé son chagrin à la télévision.
Si les autorités japonaises comme la communauté internationale condamnent fermement la décapitation de ce deuxième otage japonais, la mère de la victime se dit "sans mot". Elle souhaite surtout que "son chagrin n’alimente pas la haine".
Dans un extrait de vidéo diffusé par la chaîne publique japonaise NHK, Junko Ishido avait annoncé qu’elle espérait que son fils revenait un jour. A l’annonce de sa mort, elle réalise que son souhait ne se réalisera pas. "Je le regrette vraiment", a-t-elle confié.
Le Premier ministre, Shinzo Abe a exprimé ses regrets aux familles de Kenji Goto, deuxième otage japonais exécuté par Daech en une semaine.