La nuit dernière a été plus calme que les deux précédentes. Certes, de nombreux incidents ont été relevés et les forces de l’ordre, déployées en nombre sur l’ensemble du territoire, ont du intervenir dans plusieurs communes. Mais dans le Nord,on était bien loin de la montée de violence observée mardi et mercredi soir. Les violences urbaines qui secouent la Réunion se sont propagées dans de nouvelles villes : Saint-André, Saint-Louis, Bras Panon, Saint-Pierre, Etang-Salé... Les pilleurs ont là encore affronté les forces de l’ordre tout en détruisant les biens publics.
Pour la troisième nuit consécutive, la Réunion a été le théâtre d'affrontements entre émeutiers et forces de l'ordre. Mardi soir, seules les villes de Saint-Denis et du Port avaient été secouées par des émeutes. Mercredi, le phénomène s'était étendu aux communes de Saint-Benoit et de la Possession.
Dans la nuit de jeudi à vendredi, les violences urbaines ont touché d'autres localités. A Saint-André, Sainte-Marie, Saint-Benoit, plusieurs feux de poubelles ont été déclenchés. Des bandes de jeunes ont agressé des policiers à coups de galets. Comme la veille, les forces de l'ordre ont riposté en usant de gaz lacrymogène et de bombes assourdissantes.
A Sainte-Suzanne, dans le centre-ville, il y eu quelques attroupements devant la Mairie, mais dans l'ensemble, la situation est restée sous le contrôle des autorités. A la Rivière des Galets, les émeutiers ont brûlé deux véhicules et dressé des barrages de fortune.
Dans le chef-lieu ou les tensions étaient vives hier soir, le mobilier urbain a été une fois de plus dégradé par les casseurs. Des cabines téléphoniques ont été saccagées. Près du Square du Chaudron, des affrontements ont eu lieu entre une centaine de jeunes et les forces de l'ordre. Sur place, 75 policiers avaient été déployés pour assurer le calme et empêcher de nouveaux pillages. Les autorités ont essuyé des jets de galets. Plusieurs véhicules de la Police ont été attaqués au cocktail Molotov, et aux feux d'artifice.
Dans le Sud, à Saint-Louis, la nuit a été agitée. Des bandes de jeunes ont commis des actes de vandalisme dans le quartier de la Palissade. Ils ont notamment caillassé le magasin Leclerc.
Suite aux échauffourées qui s'étaient déroulées mardi et mercredi soir, les autorités avaient pris les devants pour éviter une troisième nuit d'émeutes. La présence policière a été renforcée. Pour rappel, des gendarmes venus de métropole sont venus prêter main forte aux autorités locales. D'autres renforts sont attendus dans les jours à venir. Si plusieurs incidents ont été relevés hier soir, force est de constater que cette nuit a été beaucoup plus calme que les deux précédentes.
Quelques heures plus tôt, le Préfet Michel Lalande, la Ministre de l'Outre-Mer Marie-Luce Penchard, ainsi que de nombreux élus, avaient appelé la population au calme. Le message a visiblement été entendu par les Réunionnais. Ce vendredi, une réunion cruciale est prévue à la Préfecture. Les acteurs du dossier des carburants se retrouveront pour négocier autour de la baisse des prix à la pompe. De nouvelles tensions pourraient éclater à l'issue de cette table ronde.
Pour la troisième nuit consécutive, la Réunion a été le théâtre d'affrontements entre émeutiers et forces de l'ordre. Mardi soir, seules les villes de Saint-Denis et du Port avaient été secouées par des émeutes. Mercredi, le phénomène s'était étendu aux communes de Saint-Benoit et de la Possession.
Dans la nuit de jeudi à vendredi, les violences urbaines ont touché d'autres localités. A Saint-André, Sainte-Marie, Saint-Benoit, plusieurs feux de poubelles ont été déclenchés. Des bandes de jeunes ont agressé des policiers à coups de galets. Comme la veille, les forces de l'ordre ont riposté en usant de gaz lacrymogène et de bombes assourdissantes.
A Sainte-Suzanne, dans le centre-ville, il y eu quelques attroupements devant la Mairie, mais dans l'ensemble, la situation est restée sous le contrôle des autorités. A la Rivière des Galets, les émeutiers ont brûlé deux véhicules et dressé des barrages de fortune.
Dans le chef-lieu ou les tensions étaient vives hier soir, le mobilier urbain a été une fois de plus dégradé par les casseurs. Des cabines téléphoniques ont été saccagées. Près du Square du Chaudron, des affrontements ont eu lieu entre une centaine de jeunes et les forces de l'ordre. Sur place, 75 policiers avaient été déployés pour assurer le calme et empêcher de nouveaux pillages. Les autorités ont essuyé des jets de galets. Plusieurs véhicules de la Police ont été attaqués au cocktail Molotov, et aux feux d'artifice.
Dans le Sud, à Saint-Louis, la nuit a été agitée. Des bandes de jeunes ont commis des actes de vandalisme dans le quartier de la Palissade. Ils ont notamment caillassé le magasin Leclerc.
Suite aux échauffourées qui s'étaient déroulées mardi et mercredi soir, les autorités avaient pris les devants pour éviter une troisième nuit d'émeutes. La présence policière a été renforcée. Pour rappel, des gendarmes venus de métropole sont venus prêter main forte aux autorités locales. D'autres renforts sont attendus dans les jours à venir. Si plusieurs incidents ont été relevés hier soir, force est de constater que cette nuit a été beaucoup plus calme que les deux précédentes.
Quelques heures plus tôt, le Préfet Michel Lalande, la Ministre de l'Outre-Mer Marie-Luce Penchard, ainsi que de nombreux élus, avaient appelé la population au calme. Le message a visiblement été entendu par les Réunionnais. Ce vendredi, une réunion cruciale est prévue à la Préfecture. Les acteurs du dossier des carburants se retrouveront pour négocier autour de la baisse des prix à la pompe. De nouvelles tensions pourraient éclater à l'issue de cette table ronde.
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