Fin mars, l’interpellation d’une femme après une fausse couche a relancé le débat sur la tendance croissante à pénaliser l’avortement et les fausses couches aux Etats-Unis.
Le jeudi 20 mars, les sénateurs ont approuvé une proposition de loi destinée à effacer les condamnations prononcées contre les femmes ayant avorté avant 1975, année de la dépénalisation.
L’interruption volontaire de grossesse (IVG) est interdite au Texas. Une sage-femme propriétaire de plusieurs cliniques a été arrêtée et inculpée pour avoir pratiqué des "avortements illégaux". C’est la première poursuite pénale dans l’État depuis la révocation de la protection fédérale du droit à l’avortement par la Cour suprême en 2022.
Le 17 janvier 1975, la loi Veil a été publiée au Journal officiel, permettant la légalisation de l’avortement en France. Pourtant, 50 ans après, l’accès à l’IVG demeure difficile.
"Le droit fondamental à la liberté individuelle dont dispose une femme […] lui donne l’autorité d’interrompre sa grossesse si elle le souhaite", a écrit Melania Trump dans son livre à paraître mardi.
Des manifestations ont eu lieu ce samedi dans plusieurs villes françaises, dont Paris, pour soutenir le droit à l’avortement.
La Drees (Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques) a publié les données concernant les interruptions volontaires de grossesse, mercredi 25 septembre.
Une étude publiée récemment révèle que depuis l’adoption d’une loi en 2021 réduisant fortement l’accès à l’avortement, le Texas a connu une hausse de la mortalité infantile.
En Louisiane, une nouvelle loi fait de la possession de pilules abortives sans ordonnance un crime. Les élus de cet état conservateur du sud des Etats-Unis ont voté en faveur de cette législation.
La gouverneure démocrate de l’Arizona, Katie Hobbs, a salué l’abrogation de cette loi comme un moyen de préserver le droit des femmes à décider de leur propre corps.
"Les modalités de prise en charge ainsi que la procédure en cas de complications seront désormais identiques quel que soit le professionnel réalisant l’acte d’IVG instrumentale", est-il indiqué dans un communiqué du ministère délégué à la Santé Frédéric Valletoux.
La cérémonie officielle pour marquer l’entrée de l’IVG dans la Constitution se déroule ce vendredi 8 mars sur la place Vendôme à Paris en présence d’Emmanuel Macron.
Le chef de l’État a loué l’adoption par le Congrès de l’inscription de l’IVG dans la Constitution, annonçant que la cérémonie de "scellement", prévue le vendredi 8 mars, serait ouverte au public pour la première fois.
Le lundi 4 mars, à Versailles, lors d’une séance tenue dans l’après-midi, une nette majorité des membres du Parlement a exprimé un fort soutien à l’intégration du droit à l’interruption volontaire de grossesse dans la Constitution, une initiative portée par le gouvernement.
Dans une déclaration sur RTL, le garde des Sceaux, Éric Dupond-Moretti, a qualifié l’inscription de l’IVG dans la Constitution française de "grande avancée pour le droit des femmes."
Après avoir obtenu un large soutien à l’Assemblée nationale, le Sénat a également voté en faveur du processus d’inscription de l’Interruption Volontaire de Grossesse (IVG) le 28 février.
La Chambre haute a approuvé mercredi le projet de loi visant à inscrire l’IVG dans la Constitution. Dans la foulée, le président Emmanuel Macron a annoncé la convocation du Congrès à Versailles, lundi 4 mars, pour l’adoption définitive du texte.
Le Vatican a émis une opposition formelle à l’inscription dans la Constitution française de la "liberté garantie" pour les femmes d’avoir recours à l’interruption volontaire de grossesse (IVG).
Mardi 30 janvier, l’Assemblée nationale a largement voté en faveur de l’intégration dans la Constitution de la "liberté garantie" pour les femmes ayant besoin de recourir à l’IVG. Cette décision place maintenant la responsabilité entre les mains du Sénat, où la formulation adoptée semble susciter moins d’accord.
Dans la nuit de mercredi à jeudi, les députés ont adopté à une large majorité le principe d’inscrire dans la Constitution la "liberté garantie à la femme d’avoir recours à une IVG".
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