L’opération de nettoyage de la dernière poche de Daesh a commencé à 16h (18h en France), selon Mustafa Bali, porte-parole des Forces démocratiques syriennes (FDS) engagées dans la lutte contre le groupe état islamique
Le groupe Etat islamique a lancé des attaques surprises depuis le 23 novembre contre des positions des Forces démocratiques syriennes (FDS), au sud-est de la province orientale de Deir Ezzor, en Syrie. Le bilan est lourd : 143 personnes sont mortes, dont 92 combattants antidhijadistes, selon l’Observatoire syrien des droits de l’Homme.
La Russie a accusé l’armée américaine d’avoir utilisé des munitions au phosphore lors d’une frappe dans le gouvernorat de Deiz ez-Zor en Syrie.
Afin d’empêcher la prolifération d’armes chimiques en Syrie, la France n’hésitera pas à effectuer de nouvelles frappes en Syrie, a prévenu le ministre des Affaires étrangères.
De vives protestations sont montées dans le centre de Bagdad après les frappes occidentales en Syrie. "Cessez de détruire la Syrie comme vous avez détruit notre pays", a scandé une foule de plusieurs milliers de personnes.
Le chef de l’OTAN, Jens Stoltenberg, a affirmé son soutien par rapport aux "actions prises par les États-Unis, le Royaume-Uni et la France contre les installations et capacités d’armes chimiques du régime syrien."
Dans la matinée de ce samedi, les États-Unis, la France et le Royaume-Uni ont lancé des frappes conjointes contre le régime syrien. Le secrétaire général de l’ONU Antonio Guterres a appelé à éviter l’escalade.
La tension est au rendez-vous entre Moscou et Washington. L’ambassadeur russe à l’ONU, Vassily Nebenzia, a qualifié jeudi d’"inadmissibles" et de "criminels" ces raids de la coalition dirigée par les Etats-Unis en Syrie.
Une voiture piégée aurait été la source de cette explosion survenue dans le quartier des combattants djihadistes d’Asie centrale.
Les forces irakiennes ont lancé jeudi 26 octobre l’assaut contre les dernières positions du groupe Etat islamique (EI) dans le pays : al-Qaïm, Rawa et leurs environs désertiques.
Les raids aériens effectués par la coalition à Raqqa ont provoqué la mort de 29 personnes dont près de la moitié sont des enfants. La majorité des victimes semblaient appartenir à une même famille.
Le 17 mars, 105 civils ont étés tués dans un bombardement de l’aviation américaine sur Mossoul, en Irak. Les Etats-Unis ont reconnu leurs erreurs, mais attribuent ce bilan à des explosifs de Daesh, et non aux bombes elles-mêmes .
Mardi, lors d’une réunion de la coalition internationale anti-EI à Copenhague, le ministre français de la Défense a annoncé que la France va poursuivre son engagement militaire contre le groupe Etat islamique (EI) en Irak et Syrie sous son nouveau président Emmanuel Macron.
Les États-Unis n’ont pas attendu longtemps pour répondre à la violente attaque chimique que le régime officiel de Damas aurait perpétrée dans le nord-ouest de la Syrie. La Russie demande une réunion d’urgence à l’ONU.
Pas moins de 33 personnes ont trouvé la mort lors d’une frappe aérienne qui a touché une école, à proximité de Rakka, selon l’Observatoire syrien des droits de l’Homme (OSDH).
Rachid Kassim, l’un des terroristes français les plus recherchés dans le monde aurait été tué mercredi 8 février par une frappe militaire de la coalition internationale.L’information a été confirmée par le Pentagone.
En dehors des frappes aériennes avec la coalition internationale, des militaires français seraient descendus directement sur le terrain en Syrie afin de lutter contre Daesh.
Après s’être accordé une pause de quelques jours, les forces spéciales irakiennes sont reparties sur le front de Mossoul, ce lundi 31 octobre. Les opérations militaires ont eu lieu dans l’est du pays.
Depuis l’offensive menée par la coalition internationale à Mossoul, en Irak, l’Etat islamique se défend en se servant des civils comme "boucliers humains". "Ils sont retenus contre leur gré" dans la ville, a déclaré un porte-parole du Pentagone.
La police et l’armée régulière irakienne aidées par la coalition internationale avancent progressivement vers le centre de Mossoul. Ils sont à 9 kilomètres de la porte de cette deuxième ville d’Irak qui est sous le joug du groupe Etat islamique.
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