Une bande de terre d’une longueur de 41 km, elle est située sur la côte orientale de la mer Méditerranée dans le bassin Levantin, au Proche-Orient. Population : environ 1,9 million d’habitants palestiniens, les Gazaouis. Langue(s) : Arabe et hébreu.
Alex Dancyg, auteur de guides touristiques traduits en plusieurs langues, était détenu par le Hamas. Le mouvement islamiste palestinien détient toujours son corps, selon l’armée israélienne.
Les enfants, victimes du conflit, subissent des amputations fréquentes et sont soignés dans des conditions extrêmement précaires.
Alors que les Etats-Unis tentent par tous les moyens de parvenir à un accord, l’armée israélienne a de nouveau bombardé ce jeudi 13 juin sur la bande de Gaza.
Samedi 8 juin, quatre otages israéliens ont été libérés lors d’une "opération spéciale" dans la bande de Gaza. De son côté, le Hamas rapporte un bilan de 210 morts dans la même zone.
Le bilan du bureau des médias du Hamas fait état d’au moins 30 victimes après les frappes de l’armée israélienne dans la nuit du mercredi 5 au jeudi 6 juin à Gaza sur une école gérée par l’UNRWA, une agence de l’ONU.
Des témoignages recueillis par Franceinfo ont mis en lumière les conditions de vie et d’hygiène catastrophiques dans lesquelles vivent les déplacés dans la bande de Gaza.
Israël continue ses offensives meurtrières dans la bande de Gaza alors que les trois pays médiateurs (Qatar, Etats-Unis, Egypte) ainsi que la communauté internationale ont appelé à un cessez-le-feu.
Ce dimanche 2 juin, l’Égypte organise une réunion avec Israël et les États-Unis pour discuter de la réouverture du passage frontalier de Rafah. C’est la porte d’entrée de l’aide humanitaire pour Gaza.
L’armée israélienne a intensifié ses frappes sur le sud de la bande de Gaza. Elle a particulièrement ciblé Rafah.
Malgré les condamnations de la communauté internationale, l’armée israélienne multiplie les bombardements dans la bande de Gaza. À la suite d’une frappe meurtrière sur un camp de déplacés à Rafah, le Conseil de sécurité de l’ONU se réunit en urgence pour discuter de la situation critique dans cette région.
Alors que le conflit entre Israël et le Hamas persiste, un nouveau drame secoue la bande de Gaza. Un bombardement, imputé à Israël, a frappé un centre pour personnes déplacées près de Rafah, causant la mort d’au moins 35 personnes, selon les autorités palestiniennes.
Dans la nuit de samedi à dimanche, une frappe aérienne israélienne aurait tué vingt personnes dans le camp de réfugiés de Nousseirat, selon les rapports de l’hôpital Al-Aqsa.
Lors d’un point de presse régulier, Tarik Jasarevic, porte-parole de l’OMS à Genève, a déclaré que les dernières fournitures médicales reçues à Gaza datent d’avant le 6 mai.
Selon le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, une opération militaire est nécessaire à Rafah, car les derniers bataillons du mouvement islamiste se retranchent dans cette ville.
Après les négociations en Égypte sur un accord de cessez-le-feu à Gaza, le Hamas a exprimé sa position. Le mouvement islamiste palestinien a affirmé que la responsabilité de l’action revenait désormais entièrement à l’Etat hébreu.
Ce bilan a été dévoilé par l’agence de l’ONU pour les réfugiés palestiniens. Selon l’UNRWA sur X, "aucun endroit n’est sûr" dans la bande de Gaza.
Peu après cette annonce, un responsable du Hamas a déclaré que "la balle est désormais dans le camp" d’Israël, qui peut choisir "entre accepter l’accord de cessez-le-feu, soit y faire obstacle".
Les tirs ayant tué ces trois soldats israéliens à Kerem Shalom, principal point de passage de l’aide humanitaire depuis Israël vers la bande de Gaza, ont été revendiqués par la branche armée du Hamas.
Alors qu’un haut responsable israélien affirme le Hamas "entrave toute possibilité d’accord" de trêve en exigeant l’arrêt des hostilités, le mouvement islamiste palestinien souligne son refus d’accepter tout accord qui ne garantit pas la fin des combats.
"J’ai ouvert la tombe de son père, Shukri, et je l’ai enterrée là, dans le cimetière Awni Daher de Rafah", a confié l’oncle de la petite fille née prématurée après avoir été sauvée de l’utérus de sa mère.
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