Le complexe de Yongbyon, au nord de Pyongyang (Corée du Nord) abrite déjà le premier réacteur nucléaire du pays.
"L’ennemi nous craindra et n’osera pas provoquer la souveraineté de notre Etat, notre système et notre peuple", a annoncé le président de la Corée du Nord Kim Jong-Un.
Les pays du G7 ont dénoncé dimanche un comportement "irresponsable" après le lancement d’un nouveau missile balistique intercontinental vendredi par la Corée du Nord.
Le missile balistique a terminé sa course en mer du Japon.
Le secrétaire général de l’ONU s’est entretenu avec le président sud-coréen Yoon Suk-yeol. Il a réitéré son engagement pour la dénucléarisation de la Corée du Nord.
Mercredi 4 mai, la Russie a affirmé avoir simulé des tirs de missiles à capacité nucléaire dans l’enclave russe de Kaliningrad.
"L’idée que tout se termine par une attaque nucléaire me semble être le scénario le plus probable, à mon grand désarroi, mais c’est inévitable", a indiqué la journaliste Margarita Simonian.
"Les armes nucléaires sont ‘un symbole de la puissance nationale’ et doivent être diversifiées", selon Kim Jong-un.
L’inquiétude est de plus en plus forte concernant "Satan 2", le missile russe réputé pour être capable de détruire un pays de la taille de la France.
Ils sont unanimes. D’un commun accord, les États-Unis, la France, la Russie, la Chine et le Royaume-Uni se sont convenus de ne jamais mener une guerre nucléaire.
Pour la première fois, Washington a annoncé, mardi 4 février, le déploiement d’une arme nucléaire de faible puissance à bord d’un sous-marin.
Le Comité international de la Croix-Rouge (CICR) a commandé une enquête sur les conflits et le droit international humanitaire.
Le chef de la diplomatie française, Jean-Yves Le Drian, a estimé ce vendredi 10 janvier que l’Iran pourrait accéder à l’arme nucléaire d’ici un ou deux ans.
Cette mallette permet au président russe de déclencher des frappes nucléaires.
Après une sortie de l’accord sur le nucléaire iranien, Washington a également mis fin au traité sur les Forces nucléaires à portée intermédiaire (FNI) en dénonçant des violations de la part de la Russie.
Le Washington Post révèle que la Corée du Nord travaillerait à nouveau à la fabrication de missiles balistiques intercontinentaux.
La Corée du Nord aurait conservé une partie de son stock de matériel pour fabriquer des armes nucléaires et dans la foulée cachait ses sites de production aux États-Unis.
Le leader nord-coréen, Kim Jong Un, a affirmé au ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, sa volonté de dénucléariser la péninsule coréenne.
Le démantèlement du site de Punggye-ri est censé se tenir devant les médias du monde entier. Les spécialistes sont pourtant mitigés sur les réelles motivations de Pyongyang.
À la suite des menaces de Pyongyang à reconsidérer le sommet avec le président américain Donald Trump, le ministre des Affaires étrangères français Jean-Yves Le Drian a indiqué que la Corée du Nord doit démontrer sa "sincérité à négocier sur sa dénucléarisation".
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