La phrase du jour revient à Laurent Blanc. Elle peut faire sourire mais reflète la réalité de la situation de l’équipe nationale : « Moi ce qui dérange c’est qu’on aurait pu penser que le sélectionneur après la Coupe du monde puisse s’appuyer sur un noyau de joueurs. Après ce qui s’est passé, le noyau, c’est même pas le pépin d’un melon. Donc y’a du travail. » »