Mi-avril, le colonel Azali Assoumani arrivait en tête du second tour des élections présidentielles aux Comores. Au même moment, les observateurs de l’Union européenne ont déposé un recours auprès de la Cour constitutionnelle. Ces derniers déclarent avoir constaté des fraudes sur l’île d’Anjouan et demandaient à ce que le scrutin soit réorganisé dans les bureaux de vote concernés. Des "irrégularités" confirmées samedie par la Cour constitutionnelle.