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Une mère a tué son propre fils pour qu’il ne dénonce pas ce qu’elle a fait avec son beau-père. Elle a voulu mener en bateau la justice dans l’enquête du meurtre du petit garçon mais la vérité a fini par éclater, et elle fait froid dans le dos.
L’histoire se passe en 2014, en Sicile, une mère de famille a étranglé son fils âgé de huit ans avec un câble USB. Pour cause, le petit innocent l’a surprise au lit avec son grand-père paternel. Le garçonnet a voulu la dénoncer auprès de son père mais elle a usé des grands moyens pour le faire taire… à jamais. Après l’avoir étranglé, la femme a jeté l’enfant qui n’a pas encore rendu l’âme mais juste inconscient dans un ravin à Santa Croce Camerina, dans le sud de la Sicile, comme le précise le site francesoir.fr. Le corps du pauvre garçon a été ensuite retrouvé par un chasseur.
La mère infanticide, une certaine Veronica Panarello a déclaré la disparition du garçon et une enquête a été ouverte par la suite. Seulement, la justice a constaté une incohérence dans les déclarations de la mère indigne car elle a annoncé que son fils a été enlevé alors que les enregistrements des vidéos de caméras de surveillance de l’école du jeune garçon prouvent le contraire. Lors des interrogatoires la jeune femme a évoqué plusieurs versions des faits. Elle a même déclaré que c’est son beau-père, l’homme avec qui il a eu des rapports sexuels qui a commis le meurtre. Le grand-père de la victime a ensuite menacé la mère de la poursuivre pour diffamation. C’est là qu’elle a enfin avoué qu’elle a commis l’impensable. "Loris a vu ce qu’il ne devait pas voir... il voulait tout raconter à mon époux", a-t-elle avoué.
Pour son crime immonde, Veronica Panarello a été condamnée à trente ans de réclusion criminelle pour l’infanticide de son fils lundi 17. Cette affaire a ébranlé toute l’Italie et le monde entier. "Il n’y a aucune satisfaction dans cette condamnation, mais le sentiment d’avoir accompli notre devoir", a déclaré le procureur Marco Rota.
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