Hatem Ali/AP/SIPA
Malgré les risques, la correspondante internationale en chef de CNN et son équipe ont documenté les ravages de la guerre, notamment dans les rues dévastées et lors de la visite d’un hôpital de campagne.
La correspondante internationale en chef de CNN, Clarissa Ward, a franchi les frontières de Gaza sans la supervision de l’armée israélienne. Depuis le 7 octobre, le passage d’Erez, point de passage entre Israël et Gaza, est fermé aux journalistes, avec des autorisations d’accès délivrées par l’armée israélienne et sous leur surveillance. Pourtant, Ward et son équipe ont réussi à contourner ces restrictions. Elle révèle avoir bénéficié d’une "position très privilégiée." "Nous nous sommes sentis relativement en sécurité, nous n’avons été au sol que quelques heures", a-t-elle ajouté.
Dans son reportage, la journaliste décrit des "horreurs épouvantables" qu’elle a constatées dans les rues et lors de sa visite d’un hôpital de campagne à Gaza, malgré les frappes continues de Tsahal. Elle partage des images déchirantes des rues dévastées, des bâtiments détruits, et des habitants confrontés à ce qu’elle décrit comme "l’horreur de la guerre moderne."
Clarissa Ward décrit l’impact dévastateur des bombardements sur la population, avec des scènes déchirantes à l’hôpital de campagne des Émirats, où des enfants gravement blessés et des adultes mutilés luttent pour survivre.
"It was chilling, it was harrowing, and a very sobering experience."@clarissaward reflects on what she saw after gaining rare access to southern Gaza.
CNN is the first Western media outlet to get access to this part of the enclave.
Ward’s full report from Gaza airs today. pic.twitter.com/OnfcxVBhw5
— CNN International PR (@cnnipr) December 14, 2023
Source : Huffingtonpost.fr
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