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Ryan, un petit garçon âgé de huit ans résidant aux Etats-Unis, est une célébrité sur la plateforme YouTube. Le principe de sa chaîne "Ryan ToysReview" est courant sur la plateforme : il teste des jouets.
Alors que depuis des années les partenariats, les placements de produits et les parrainages sévissent sur YouTube, la plateforme a récemment durci sa réglementation. Une mesure qui est coûteuse pour certaines chaînes comme celle d’un jeune Américain "Ryan ToysReview", qui est géré par ses parents. Comme Boram en Corée ou Swan et Néo en France, le principe de la chaîne du petit garçon de huit ans n’est pas nouveau. Ryan essaie des jouets.
Ces tests ont permis à la chaîne "Ryan ToysReview" d’avoir près de 21 millions d’abonnés et environ 32 milliards de vues. Cette popularité a incité le petit garçon à signer des contrats publicitaires. RTL cite par exemple Colgate, où le visage de Ryan apparaît dans les tubes de dentifrice pour enfants. Il aurait également signé un contrat avec Walmart ou la chaîne de restauration rapide Carl’s Jr.
Mais à présent, les publicités sur YouTube sont très réglementées. Des associations de consommateurs poursuivent alors le jeune garçon devant la Federal Trade Commission pour ses contrats de publicité. Ces dernières lui reprochent, notamment, d’avoir glissé dans ses vidéos suivies par les enfants de la publicité payante déguisée pour les marques. Il importe de déterminer si le jeune public sait comment faire la différence entre un contenu sponsorisé et une vidéo de test de jouet.
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