Les examens toxicologiques pratiqués sur la dépouille de la star britannique, décédée le 23 juillet dernier, montrent que la jeune femme de 27 ans n’avait pris aucune substance illégale avant de rendre son dernier souffle. Les analyses confirment par contre qu’on a retrouvé de l’alcool dans son corps.
Amy Winehouse est décédée dans des circonstances floues. Les résultats des tests effectués sur sa dépouille révèlent que « l’alcool était présent », mais pas de trace de drogue. C’est dans un communiqué que le clan Winehouse a indiqué : « Les résultats des analyses toxicologiques données par les autorités ont confirmé qu’il n’y avait aucune substance illégale dans le corps d’Amy au moment de sa mort ». Le texte ajoute : « Les résultats indiquent la présence d’alcool mais il n’est pas encore possible de déterminer si cela a joué un rôle dans sa mort ». Ce communiqué précise enfin que la famille « attend les conclusions en octobre de l’enquête judiciaire » sur la mort de la star.
Mitch Winehouse, le père de la défunte, affirme depuis le début que sa fille a vaincu sa dépendance à la drogue trois années avant sa mort. Il n’a pas toutefois nié le fait qu’Amy était toujours accro à l’alcool mais elle essayait tant bien que mal de s’en sortir. Le papa, ex-chauffeur de taxi devenu chanteur de Jazz, explique que sa fille « essayait vraiment de se sortir de ses problèmes d’alcoolisme », qu’elle était à « sa troisième semaine d’abstinence », et que la chanteuse semblait « plus heureuse qu’elle ne l’avait jamais été depuis des années ».
La thèse du sevrage trop brutal n’est toujours pas écartée. En effet, beaucoup pensent que le corps d’Amy Winehouse, fragilisé par les excès, n’a pas résisté à un arrêt brutal de la drogue et de l’alcool. Un proche de la star confirme d’ailleurs cette hypothèse en racontant que pour Amy, c’était tout ou rien et elle a voulu arrêter d’un coup.