Au Japon, deux melons ont été vendus aux enchères à plus de 20 000 euros ce lundi 24 mai. C’est comme un signe de reprise de l’activité économique dans le pays après la crise engendrée par la pandémie de coronavirus.
La vente aux enchères de fruits saisonniers attire des acheteurs en quête de prestige et de publicité gratuite au Japon. Ce lundi 24 mai, deux melons Yubari ont été vendus à 2,7 millions de yens, soit environ 20 370 euros.
C’est 22 fois plus que le prix de 2020, qui a été plombé par la crise sanitaire, selon les médias. Le coût serait en revanche encore moins important comparé à d’autres records enregistrés pour ce fruit. L’acheteur retenu est un fabricant local d’aliments pour bébés.
Pour un responsable du marché de gros : "La reprise des prix cette année peut être vue comme la volonté d’acheteurs d’encourager les gens en faisant des offres plus élevées", selon les propos cités par les médias. Cette vente pourrait être l’indicateur le plus improbable d’une reprise économique post-pandémie.
Les melons proviennent de l’île japonaise de Hokkaido, une des destinations touristiques les plus attrayantes du Japon. En 2019, deux melons Yubari étaient vendus à un prix record de 5 millions de yens, mais la somme a baissé à seulement 120 000 yens en 2020.
Pour un responsable du marché de gros : "La reprise des prix cette année peut être vue comme la volonté d’acheteurs d’encourager les gens en faisant des offres plus élevées", selon les propos cités par les médias. Cette vente pourrait être l’indicateur le plus improbable d’une reprise économique post-pandémie.
Les melons proviennent de l’île japonaise de Hokkaido, une des destinations touristiques les plus attrayantes du Japon. En 2019, deux melons Yubari étaient vendus à un prix record de 5 millions de yens, mais la somme a baissé à seulement 120 000 yens en 2020.
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