Au quinzième jour de l’incendie, le terrain et bel et bien miné par des points chauds souterrains. Mise à disposition des pompiers, la caméra thermique utilisée par les scientifiques de l’Observatoire Volcanologique du Piton de la Fournaise a permis d’identifier avec exactitude les secteurs les plus sensibles. Ce mardi, plus de 600 hommes et femmes ont oeuvré sans relâche sur le site du Maïdo. Ils n’ont qu’une idée en tête : éviter à tout prix que les rafales de vent ne ravivent les flammes.