Plus de 20 jours après la naissance du Cospar, le collectif continue à travailler pour résoudre les différents problèmes liés à la crise du pouvoir d’achat.
Demain le collectif contre la vie chère doit reprendre les négociations à la table du Préfet.
Il s’agira de définir précisément les 200 produits sur lesquels portera la baisse des prix.
En attendant, le collectif a passé une bonne partie de la journée en préfecture. Ses membres ont participé à des ateliers de travail portant sur plusieurs thèmes.
Il a été question notamment des minima sociaux. Également des conséquences de la crise sur la fonction publique.
Après une succession de jours de réunions, et de mobilisation sur le terrain, les organismes commencent à fatiguer.
La vie familiale des membres du Cospar s’organise également autour de toutes ces heures d’absence du foyer.
Certains n’hésitent pas à téléphoner à leurs proches aussi souvent que possible. Notamment dès qu’une pause est organisée en Préfecture.