Dans ce contentement général de voir le Maloya classé patrimoine mondial de l’Unesco, une voix discordante s’élève : celle de Bernadette Ladauge. La militante du séga crie à la tromperie. Selon elle le Maloya n’a jamais été pratiqué par les premiers esclaves noirs. Il est arrivé au moment de l’abolition de l’esclavage. C’est le séga qui aurait dû être reconnu mondialement. Selon Bernadette Ladauge la Région, par le biais de la Maison des civilisations a fait "une connerie".