Les 4 communes auxquelles l’état de catastrophe naturelle avait été étendu le 15 avril pour les dégâts causés par les submersions marines voient l’arrêté être élargi aux inondations et choc mécaniques liés à l’action des vagues pendant le passage de Bejisa.
Suite au passage de Bejisa sur La Réunion, l’état de catastrophe naturelle a été déclaré sur 20 des 24 communes de l’île. Mais cela s’est fait progressivement, d’abord, le 18 janvier, 16 communes ont été reconnues en état de catastrophe naturelle. Puis, le 15 avril, il l’arrêté est étendu à quatre communes.
En janvier, les communes en état de catastrophe naturelle sont les Avirons, Cilaos, l’Entre-Deux, Étang-Salé, Petite-Île, Plaine-des-Palmistes, Le Port, La Possession, Saint-Joseph, Saint-Leu, Saint-Louis, Saint-Paul, Saint-Pierre, Salazie, Le Tampon, Trois-Bassins.
À partir du 15 avril, Saint-Louis, Saint-Paul, Le Port et l’Étang-Salé sont ajoutées à la liste pour les dégâts liés aux submersions marines. "Les quatre communes voient reconnaitre l’état de catastrophe naturelle au titre des dommages spécifiques causés par les submersions marines, en complément des dommages déjà reconnus en janvier dernier au titre des inondations et des coulées de boue suite au passage du cyclone Bejisa", avait alors précisé la ministre des Outre-Mer, George Pau-Langevin.
Aujourd’hui, cet arrêté est agrandi aux dégâts provoqués par les inondations et les chocs mécaniques liés à l’action des vagues pour la période du 1er au 3 janvier pour l’Étang-Salé et Saint-Louis et entre le 2 et le 3 janvier pour Le Port et Saint-Paul.