Déjà préoccupés par la menace de la grippe A, les Réunionnais doivent désormais composer avec un probable retour du chikungunya. Le virus était jugé absent de l’île depuis 2006. Un cas est avéré, deux autres sont en cours de confirmation dans un laboratoire de Métropole.
Depuis hier soir, les vieux démons du chikungunya ont refait leur apparition. La Réunion avait été mortellement frappée par le virus véhiculé par l’aedes albopictus en 2005 et 2006.
Trois cas ont été mis à l’étude dans un quartier de la ravine Saint-Gilles. Parmi les personnes suspectées d’être contaminées, une dame âgée. Son petit-fils s’est confié à radio Freedom :
« Ma mémé a des douleurs articulaires et des maux de tête. Elle a aussi des plaques rouges sur les bras. Les gens de la Drass sont venus la voir. Ils ont rempli plein de papiers pour savoir si on avait déjà eu le virus. Ensuite ils sont revenus au moins trois fois pour démoustiquer à côté ».
Côté grippe A, la pandémie est en nette progression à la Réunion, le prochain comptage officiel sera rendu public par la Drass cet après-midi.
Aujourd’hui, le corps médical est confronté à deux préoccupations :
-D’abord celle de constater que le chik réapparaît en plein hiver Austral. À la dernière épidémie, il était apparu à la Réunion en saison chaude et humide.
Il s’agit là d’une information inquiétante car elle laisse présager une possible adaptation du virus au « froid de chez nous ».
Si la maladie traverse l’hiver, elle risque de se développer davantage à l’été prochain.
-Ensuite les médecins craignent également une collusion entre la grippe A et le Chikungunya.En effet, les deux maladies ont des symptômes en commun : douleurs articulaires, température excessive. Seule la toux et l’écoulement nasal permettent de différencier le chik.
Depuis hier soir, les vieux démons du chikungunya ont refait leur apparition. La Réunion avait été mortellement frappée par le virus véhiculé par l’aedes albopictus en 2005 et 2006.
Trois cas ont été mis à l’étude dans un quartier de la ravine Saint-Gilles. Parmi les personnes suspectées d’être contaminées, une dame âgée. Son petit-fils s’est confié à radio Freedom :
« Ma mémé a des douleurs articulaires et des maux de tête. Elle a aussi des plaques rouges sur les bras. Les gens de la Drass sont venus la voir. Ils ont rempli plein de papiers pour savoir si on avait déjà eu le virus. Ensuite ils sont revenus au moins trois fois pour démoustiquer à côté ».
Côté grippe A, la pandémie est en nette progression à la Réunion, le prochain comptage officiel sera rendu public par la Drass cet après-midi.
Aujourd’hui, le corps médical est confronté à deux préoccupations :
-D’abord celle de constater que le chik réapparaît en plein hiver Austral. À la dernière épidémie, il était apparu à la Réunion en saison chaude et humide.
Il s’agit là d’une information inquiétante car elle laisse présager une possible adaptation du virus au « froid de chez nous ».
Si la maladie traverse l’hiver, elle risque de se développer davantage à l’été prochain.
-Ensuite les médecins craignent également une collusion entre la grippe A et le Chikungunya.En effet, les deux maladies ont des symptômes en commun : douleurs articulaires, température excessive. Seule la toux et l’écoulement nasal permettent de différencier le chik.