Pour poursuivre son périple en Amérique latine, le chef de l’État François Hollande était contraint d’emprunter un Falcon gouvernemental français pour rejoindre Buenos Aires en Argentine.
Le sort semble s’acharner sur le président de la République François Hollande en visite de plusieurs jours en Polynésie française puis en Amérique latine.
L’Airbus A300 tombé en panne
Le chef de l’État a dû arriver en retard à Buenos Aires en Argentine, la deuxième étape de sa visite officielle en Amérique latine. Et pour cause : l’Airbus A300 qui devait l’y conduire était tombé en panne. Après les grosses averses qui l’ont accueilli en Tahiti, plutôt rare en cette saison, l’avion présidentiel a refusé de décoller de l’aéroport de Lima au Pérou ce mercredi. En conséquence, François Hollande était contraint d’emprunter un Falcon gouvernemental français pour pouvoir arriver à destination.
Une panne rarissime
Un membre de la délégation présidentielle cité par Le Figaro a confié que c’est le servocommande de l’appareil qui aurait connu une panne. Il a précisé qu’il s’agit d’"une panne rarissime, peut-être en raison de l’humidité".
En fin de journée de ce jeudi, François Hollande doit partir pour l’Uruguay où il dînera avec son homologue Tabaré Vazquez. Le locataire de l’Élysée doit atterrir à Paris vendredi après-midi pour assister samedi à l’ouverture du Salon de l’agriculture.
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.@fhollande monte dans le Falcon de la République. Un problème électrique cloue l’#Airbus présidentiel á #Lima. pic.twitter.com/qhSoL08DuX
— Maryse Burgot (@MaryseBurgot) 24 février 2016