Alain Buisson est intervenu ce jeudi par visioconférence. Le gendarme qui réside aujourd’hui en Métropole faisait partie de la section de recherches de Saint-Denis, en 2007, au moment où premier et le second enlèvement d’Alexandre Thélahire ont été perpétrés. Ce témoignage a permis d’apporter aux jurés des éléments essentiels leur permettant de compléter le puzzle du premier rapt. Le président de la cour d’assises a aussi mis au jour certaines incohérences dans la procédure judiciaire.