Lors des émeutes qui ont éclaté durant la nuit du jeudi 23 au vendredi 24 février, neuf gendarmes et policiers ont été blessés. Bien que la nuit ait été plus calme dans l’ensemble, les violences urbaines ont gagné du terrain et les forces de l’ordre ont de nouveau été pris pour cibles.

A Saint-Benoît un véhicule de gendarmerie a été pris en embuscade et un gendarme a été blessé au visage, victime d’un cocktail Molotov.

La Préfecture affirme que les forces de l’ordre ont observé "une radicalisation de la violence à leur égard, comme en témoignent l’intensification des jets de cocktails Molotov et de galets".