Anthony Behar/Sipa USA/SIPA
L’obligation d’une dose de rappel pour les soignants et les pompiers, est entrée en vigueur depuis dimanche 30 janvier. Les récalcitrants à cette mesure sont menacés de suspension de leurs fonctions.
Les professionnels concernés : les soignants et les pompiers, et qui n’ont pas encore fait la dose de rappel dans le temps, pourront faire l’objet de suspension de leurs fonctions. Cette obligation à la dose de rappel est la suite logique de la mesure appliquée le 15 septembre 2021 ayant trait à la réalisation, d’au moins une injection dans l’exercice de ces métiers.
Pour rappel, le ministre de la Santé Olivier Véran a évoqué l’obligation à la dose de rappel, le 18 décembre dernier. A ce moment, ce responsable a indiqué que cette mesure servira à prévenir le risque d’un absentéisme important dans les hôpitaux face au variant Omicron, très contagieux.
Les professionnels, concernés par l’obligation à la dose de rappel, sont les soignants et les pompiers qui ont reçu leur dernière dose il y a plus de sept mois jusqu’au 15 février "et n’ayant pas été contaminé par le Covid-19 entre-temps qui risquent une suspension s’ils n’ont toujours pas réalisé leur dose de rappel", rapporte Bfmtv. À partir du 15 février, cette durée est abaissée à quatre mois.
Il faut aussi savoir que pour que le pass vaccinal soit valide, une dose de rappel doit obligatoirement être réalisée au maximum sept mois après la dernière dose.
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