Francois Mori/AP/SIPA
Dans son communiqué du lundi 20 juillet, la Direction générale de la santé (DGS) a rapporté 30 177 décès liés au nouveau coronavirus en France, depuis le début de l’épidémie.
La Direction générale de la santé (DGS) a indiqué, lundi 20 juillet, dans son communiqué que l’épidémie de la Covid-19 a fait 25 nouveaux décès à l’hôpital, depuis vendredi dernier. Quant au nombre de patients en réanimation, il a diminué au cours du week-end (-10).
Toutefois, la DGS s’inquiète de la hausse inquiétante de la circulation du coronavirus sur le territoire français. Elle parle même d’une augmentation du nombre de recours à SOS médecins, de clusters, des passages aux urgences ou encore des hospitalisations, relate Le Figaro. "SOS médecins a réalisé 428 interventions pour suspicion de COVID-19, soit 5 % de l’activité totale. Les services d’urgence ont noté 198 passages pour ce même motif, soit 0,6 % de l’activité totale", a précisé le communiqué.
Les chiffres officiels rapportent 207 cas groupés, toujours actifs, en France, dont neuf nouveaux foyers au cours des dernières 24 heures.
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La situation épidémiologique en Mayenne évolue avec la réduction de la positivité du nombre de tests. Cependant, le département reste dans un état de vulnérabilité.
"Cette situation témoigne du fort potentiel évolutif qui demeure quand le virus continue de circuler et que les conditions de transmission sont favorables", précise la DGS.
Pour sa part, le ministre de la Santé Olivier Véran parle d’une bonne nouvelle dans ce département. En effet, sur 100 tests effectués, trois personnes sont positives au coronavirus, contre huit au début.
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Le préfet du Finistère a indiqué que la situation était sous-contrôle dans son département malgré une augmentation rapide de cas. Selon lui, le principal vecteur de propagation du virus est le brassage de la population lié aux vacances.
"La situation est inquiétante (…) Le taux de reproduction effectif du virus est actuellement de 3,1 % dans le Finistère", a indiqué le délégué départemental de l’Agence régionale de santé (ARS) Bretagne, Jean-Paul Mongeat.
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