La Commission européenne accorde à la France quinze jours de sursis pour lui fournir des garanties fermes attestant que les renvois des Roms roumains et bulgares chez eux respectent scrupuleusement la législation en vigueur, sans quoi elle engagera une procédure d’infraction qui pourra déboucher sur une saisine de la Cour européenne de justice. Paris a donc jusqu’au 15 octobre pour répondre aux exigences de la Commission.