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Sur France 2, Jean-François Copé, le maire Les Républicains de Meaux (Seine-et-Marne), a annoncé son soutien à Christian Jacob.
Ce week-end, Les Républicains ou LR vont faire leur rentrée politique à la Baule, en Loire-Atlantique. Après la démission de Laurent Waquiez, les militants vont procéder à l’élection de leur président, mi-octobre. Trois candidats sont en lice à savoir, Christian Jacob, Julien Aubert et Guillaume Larrivé.
Vendredi 30 août, Jean-François Copé, le maire LR de Meaux (Seine-et-Marne) a été invité sur le plateau des 4 vérités de France 2. Quand nos confrères l’ont interrogé pour qui il votera, il a répondu qu’il soutiendra Christian Jacob. "Cela n’est faire injure ni à Julien Aubert ni à Guillaume Larrivé que de dire que je le soutiens parce qu’il est un professionnel de la politique", a-t-il expliqué.
Selon ses dires, la tête de ce qu’il reste de la droite française, a besoin de quelqu’un qui soit en situation de rassembler, de permettre à chacun de donner le meilleur de lui-même, de renouer avec le débat, de le faire avec méthode. "Aujourd’hui, celui qui a cette expérience, c’est Christian Jacob", a-t-il renchéri.
Après sa défaite aux élections européennes, Les membres LR doivent opter pour une autre méthode pour qu’ils redeviennent audibles auprès des Français. En effet, "ce serait bien qu’elle commence à renouer avec l’authenticité et la sincérité", a-t-il argumenté. "Par exemple de ne pas être obligé tout le temps, par principe, quand on pense qu’une mesure prise par le gouvernement est bonne", a estimé Jean-François Copé pour qui le G7 a été une réussite. Les élections municipales de 2020 se profilent.
Interrogé sur les probables accords entre LR et LaREM, Jean-François Copé a souligné que cela dépend des endroits. "Je pense qu’il faut être pragmatique", a-t-il signifié en expliquant qu’au premier tour, chacun doit aller avec ses couleurs et puis voir ce qu’il en est au deuxième. Il a aussi rappelé que nous sommes en face des populistes, des extrémistes, qui veulent prendre le pouvoir et déstabiliser nos pays en Europe et dans le monde. "Il est vital que la droite française se reconstruise", a-t-il conclu.
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