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Mercredi 12 octobre, le président français Emmanuel Macron était l’invité du premier numéro de ‘L’Événement’, nouvelle émission politique de France 2. Le chef de l’État était face à la journaliste Caroline Roux.
Les stations-services pourront de nouveau répondre à la demande de carburants "dans le courant de la semaine qui vient", et que la crise devrait se terminer dans "sept à dix jours", a souligné l’entourage d’Emmanuel Macron à France Télévisions. Dans ‘L’Événement’, le président de la République a affirmé avoir "une pensée pour l’ensemble des compatriotes qui font des queues au milieu de la nuit pour trouver de l’essence".
Le chef de l’État a aussi critiqué l’attitude des syndicats qui sont à l’origine du mouvement social. "Que la CGT permette au pays de fonctionner", a-t-il lancé à l’annonce du dépôt par cette dernière d’un recours en justice contre les réquisitions. "Je suis pour la négociation, pas pour le blocage", a continué le président, dans des propos retranscrits sur le site internet de France Info.
Concernant ses échanges téléphoniques avec le président russe, Emmanuel Macron s’est montré clair : "à chaque fois que ce sera nécessaire, je parlerai à Vladimir Poutine". Le président français estime que ces dialogues sont nécessaires pour que la paix revienne. Par ailleurs, il a annoncé que la France livrera à Kiev "dans les prochaines semaines", "des radars et des systèmes avec des missiles anti-aériens".
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"De manière très claire, la France condamne les répressions aujourd’hui menées par le régime iranien et nous nous tenons aux côtés de ces femmes" qui manifestent depuis la mort de Mahsa Amini, a dit Emmanuel Macron. Ce dernier a ensuite fait part de "son admiration" pour ces femmes.
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