Le 24 avril dernier, soirée de la ré-élection d’Emmanuel Macron à la Présidentielle, un gardien de la Paix d’origine réunionnaise avait ouvert le feu sur une voiture refusant d’obtempérer. Nos confrères de Médiapart et Libération révèlent de nouveaux éléments quant à l’enquête qui remettent en cause la version de la légitime défense avancée.