Illustration - Sarah ALCALAY/SIPA
Cela s’est produit en janvier dernier, un homme de 34 ans a été placé en garde à vue au commissariat de Nîmes pour proxénétisme.
Le trentenaire a été arrêté et interrogé par la police, mais il refusait de donner le code d’accès à son téléphone.
Les techniciens de l’équipe scientifique ont donc forcé l’accès, ce qui leur a pris plus de 4 mois. Une période durant laquelle, le prévenu a été placé en détention provisoire.
Une fois qu’ils ont eu accès au contenu du téléphone du pédophile, les techniciens découvrent des vidéos de type pédopornographiques dont une, concernant le viol qu’il a commis sur un enfant de 2-3 ans.
Le trentenaire a été extrait de sa cellule de prison, à la maison d’arrêt de Nîmes, le lundi 15 mai dernier, pour être de nouveau placé en garde à vue.
