Le corps d’une femme de 42 ans a été découvert dans sa maison, le 17 novembre dernier. Le parquet de Chartes a déclaré la mise en examen de son conjoint.
Les faits ont eu lieu le 17 novembre dernier en Eure-et-Loir, une infirmière libérale a été retrouvée sans vie chez elle. Une autopsie a été effectuée et les résultats ont conclu une mort causée par une "strangulation manuelle". Ces informations ont été communiquées par le procureur de Chartres. Fréderic Chevallier a précisé que le compagnon de la victime a été mis en pour "homicide volontaire commis par conjoint" et il a été placé en détention.
Le jour du drame, le compagnon de l’infirmière avait avoué à son frère qu’il avait assassiné sa femme. Le suspect a aussi dit à ce membre de sa famille qu’il allait mettre fin à ses jours. Le frère a aussitôt alerté les autorités compétentes. L’homme âgé de 46 ans a tenté de se suicider, il a été découvert avec un "couteau planté au niveau de son thorax, dans la zone du cœur". Il a été aussitôt admis à l’hôpital en urgence, il a été gravement blessé.
Depuis, le mis en cause va beaucoup mieux, de ce fait, il a été auditionné le 23 novembre. Durant sa garde à vue, le quarantenaire n’a pas beaucoup parlé ensuite sa mise en examen pour "homicide volontaire commis par conjoint" a été acté. Le suspect restera en détention avant son jugement.
Le procureur a révélé que l’homme a déjà écopé d’une condamnation pour des violences contre sa compagne. Il a été inculpé à "trois mois d’emprisonnement avec sursis simple et un stage de sensibilisation aux violences intrafamiliales" selon les précisions de l’homme de loi.
La défunte était maman deux enfants, issus d’une précédente relation, tout comme son conjoint. Les enfants ne se trouvaient pas dans le domicile familial durant la tragédie.