En 2006, l’épidémie de chikungunya a touché de plein fouet le secteur touristique réunionnais mais pour l’heure, la pandémie de grippe A (H1N1) ne semble pas affecter ce secteur. Les touristes n’ont pas peur du virus H1N1 car l’épidémie est mondiale, donc cela ne les empêche pas de venir sur le département pour passer leurs vacances.
En 2006, l’épidémie de chikungunya a touché de plein fouet les professionnels du tourisme sur le département. Pour plus de précision, une baisse de 72% des réservations avait été enregistrée lors de l’épidémie de chik.
Aujourd’hui, l’épidémie de grippe A (H1N1) ne présente pas les mêmes conséquences catastrophiques sur le secteur touristique réunionnais.
La situation est différente : "la pandémie de grippe A est mondiale, les vacanciers qui viennent de métropole d’ailleurs sont aussi confrontés à la grippe A chez eux, donc cela ne les empêche pas de venir passer leurs vacances sur l’île".
"La grippe A n’a pas de répercussion sur les réservations de mon établissement" explique le patron d’un hôtel situé sur le front de mer de Saint Pierre.
Il n’y a pas la même peur que face au chikungnya en 2006, le virus H1N1 n’empêche pas les touristes d’apprécier les atouts et la beauté de la Réunion car la pandémie est mondiale, donc le risque est partout.