Mercredi 29 mars, le candidat de La France insoumise Jean-Luc Mélenchon à l’élection présidentielle Jean-Luc Mélenchon a de nouveau refusé tout accord avec celui du Parti socialiste Benoît Hamon. L’union de la gauche n’est donc pas pour le premier tour.
L’ancien Premier ministre Manuel Valls a annoncé mercredi 29 mars son soutien à Emmanuel Macron, le candidat du mouvement En marche ! à l’élection présidentielle. Benoît Hamon, le vainqueur de la primaire du Parti socialiste, se retrouve une nouvelle fois marginalisé par l’ensemble de la gauche. En effet, le représentant de La France insoumise Jean-Luc Mélecnhon a, une nouvelle fois, annoncé que toute alliance avec le ministre frondeur est impossible.
Manuel Valls a jugé que le soutien à Emmanuel Macron à l’élection présidentielle est utile face à la montée de l’extrême droite représentée par la candidate du Front national Marine Le Pen. Comme il fallait s’y attendre, le choix de l’ancien Premier ministre a déclenché de vives réactions dans son camp, et même dans les autres forces politiques comme les écologistes qui évoquent un "clientélisme". Certains parlent de "trahison", d’autres de "honte". Désormais, la division de la gauche est aussi illustrée par le refus du candidat de Jean-Luc Mélenchon à toute alliance avec Benoît Hamon.
Lire notre dossier sur l’élection présidentielle.
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