Malgré quelques incidents un peu partout sur le territoire français le jour du Nouvel An, l’entourage du ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, estime que la nuit a été "globalement calme".
A cause de la Covid-19, la nuit du Nouvel An était sous couvre-feu. Cela dit, quelques incidents ont été enregistrés. Un jeune homme est notamment décédé après avoir eu "la tête arrachée" dans le Bas-Rhin (à lire ici) et plusieurs fêtes clandestines ont été organisées un peu partout en France.
Cette nuit du Nouvel An a été "globalement calme" malgré ces incidents et "les craintes que l’on pouvait avoir’, a indiqué ce 1er janvier l’entourage du ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin, rapportent les médias français comme 20 Minutes. Sur l’ensemble du territoire, "la nuit, s’est, au vue des premières remontées, très bien passée", a continué l’entourage de M. Darmanin.
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Cela dit, l’entourage de Gérald Darmanin a déploré plusieurs prises à partie des forces de l’ordre, notamment avec des tirs de mortiers d’artifices. Des rixes entre les autorités et les fêtards ont notamment explosé à Calais avec des tirs de mortiers d’artifices.
C’était aussi le cas dans plusieurs villes de la couronne parisienne, comme à Limeil-Brévannes et Arcueil dans le Val-de-Marne, à Nanterre (Hauts-de-Seine), ou encore à Villemomble et Noisy-le-Grand en Seine-Saint-Denis.
Plusieurs fêtes clandestines ont également été interrompues.
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