LODI FRANCK/SIPA
Trois personnes doivent répondre de leurs actes atroces, ce vendredi 11 novembre, devant le tribunal de correctionnel d’Évreux dans une affaire de viol concernant une Dogue des Canaries âgée de 3 ans.
L’association Stéphane Lamart ‘Pour la défense des droits des animaux’ rapporte à BFMTV que l’homme violait la chienne, la femme filmait, et le complice regardait les vidéos du cauchemar qu’a vécu Mya, du 1er décembre 2018 au 14 juin 2019.
Ce jour du 14 juin 2019, le couple en question est allé à la gendarmerie de Verneuil d’Avre et d’Iton pour déposer plainte. En effet, il recevrait des menaces de mort… Pendant les auditions, les langues se sont déliées pour que sorte l’abominable vérité. Les autorités ont compris que le couple faisait des vidéos pornographiques et zoopornographiques, envoyées ensuite à l’amant de la femme. Lorsque cette dernière a voulu rompre, l’amant en question aurait proféré les menaces !
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Les gendarmes ont ensuite découvert des "vidéos sordides" dans lesquelles "la femme filmait les scènes et donnait les consignes", allant parfois jusqu’à aider son époux. Quant à la chienne, elle "avait la queue relevée scotchée à son dos et les pattes arrières attachées avec des menottes", relate l’association.
L’animal a été recueilli au Refuge des Orphelins de l’association Stéphane LAMART, à Aunay-sur-Odon dans le Calvados. Mya serait ‘anormalement maigre’, boiteuse, avec la queue tordue pendant sa prise en charge. L’association assure que la chienne est actuellement en sécurité dans une famille d’accueil.
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