Le Jet Lag se manifeste par des troubles du sommeil, troubles digestifs, malaise et température corporelle anormale.
Comment lutter contre ?
Avant de monter dans l’avion, réglez déjà votre montre à l’heure locale de destination. Mangez et pensez à boire plus d’eau que d’habitude. En effet, la privation de sommeil déshydrate le corps. S’il le faut, faîtes une petite sieste avant de partir.
Durant le voyage, évitez de prendre de l’alcool et buvez de l’eau régulièrement. Evitez les repas trop copieux, en effet, de récentes études suggèrent même qu’il est préférable de jeûner à bord de l’avion et de ne manger qu’une fois arrivé à destination.
Sachez que les effets du décalage horaire sont plus sévères si vous voyagez vers la direction Est. Dans ce cas là, vous allez dans le sens où le soleil se lève. Vous devez ainsi avancer votre horaire de coucher et donc de lever. Une fois arrivé à destination, exposez-vous à la lumière du jour le matin, faîtes également des exercices à ce moment-là. Au cas où le soleil tape fort dans l’après-midi, ne vous séparez pas de vos lunettes de soleil. Enfin, avant de vous coucher, prenez une douche bien fraîche.
Vous voyagez vers l’Ouest ? Vous allez dans la direction où le soleil se couche. Il est ainsi nécessaire de retarder votre horaire de coucher et de lever. Une fois à destination, privilégiez l’exposition à la lumière du jour en après-midi. Faites un peu de sport en fin d’après-midi, voire même en soirée. Afin de tenir le coup, prenez une bonne douche chaude avant le coucher.
La luminothérapie est également adaptée dans le cadre de la lutte contre le Jet Lag. Il s’agit d’un psychiatrique qui consiste à exposer la vue à une lumière et spectre lumineux intense spécifique se rapprochant de la lumière solaire.
Enfin, en ce qui concerne les somnifères, il faut savoir que leur prise lors d’un voyage long courrier est vivement déconseillée. Le sommeil provoqué grâce à des médicaments présente plusieurs inconvénients : somnolence excessive ou même troubles du comportement s’il est mélangé à de l’alcool, déshydratation de l’organisme et hausse de risque de phlébite lié à l’immobilité continue.