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Interrogée par RTL, mardi 29 octobre, sur sa possible candidature aux élections municipales à Paris, Agnès Buzyn a rejeté cette idée de "plan B" insufflée par François Bayrou.
Le président du MoDem, allié du président, Jean-Louis Borloo, a fait allusion, dimanche, à la rivalité entre Benjamin Griveaux et Cédric Villani. Une double candidature LREM qui pourrait être un désavantage pour le parti présidentiel.
Pour avoir une chance de gagner les élections municipales de Paris, l’ancien ministre a alors proposé des noms en guise de plan B, dont Agnès Buzyn ou encore Jean-Louis Borloo.
A l’évocation de son nom associé à la candidature des municipales à Paris en tant que "plan B", Agnès Buzyn a rétorqué sur RTL que : "Non, pas du tout", elle ne sera pas ce "plan B". Elle a expliqué être "totalement et complètement investie sur mes dossiers". Elle a aussi fait remarquer que même si elle se frotte à "une élection, à une candidature, ce ne sera pas la ville de Paris".
Selon encore la ministre de la Santé, il y a un "candidat investi par En Marche", en la personne de Benjamin Griveaux à qui elle accorde son soutien. La ministre a aussi fait part de son souhait de voir "Cédric Villani se ranger derrière Benjamin Griveaux". Ainsi "il n’y aura plus qu’un candidat et pas de dissident", rapporte Le Figaro.
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