Thérèse Baillif, qualifie l’infanticide de Saint-Benoît comme une "horreur inexprimable" qui plonge les associations dans la révolte, car leurs appels à l’aide ne sont pas toujours entendus.
Thérèse Baillif - présidente du Collectif pour l’élimination des violences intrafamiliales (CEVIF) était sur le plateau du Journal Télévisé d’Antenne Réunion pour tenter de donner des explications sur l’infanticide à Saint-Benoît.
Impliquée depuis plus de 25 ans dans la lutte contre les violences au sein de la famille, Thérèse Baillif a le sentiment que La Réunion a basculé aujourd’hui avec cet acte abominable commis à Beaulieu. Un homme d’une trentaine d’années à décapité son fils de 4 ans avant de le brûler et jeter la dépouille aux chiens.
Pour la militante, c’est "une horreur inexprimable" qui secoue La Réunion aujourd’hui. Un acte abominable qui suscite de nombreuses questions et de la révolte pour les associations de lutte contre les violences.
Retrouvez dans la vidéo jointe l’intégralité de l’interview de Thérèse Baillif - présidente du Collectif pour l’élimination des violences intrafamiliales.