Alors que les trois crèches du Tampon sont toujours en sursis - le tribunal de commerce se prononçant lundi prochain -, le maire de la commune Paulet Payet rappelle que la petite enfance est l’une "des priorités" de la commune, expliquant pourquoi aucune offre de reprise n’a été déposée pour l’établissement Nid Joli.