L’incendie qui ravage la forêt primaire du Maïdo depuis cinq jours a embrasé 150 hectares de plus ce vendredi. Malgré les efforts nourris par les soldats du feu et les militaires, la situation reste hors de contrôle. Les autorités craignent désormais que les différents foyers ne se rejoignent.

Devant la reprise brutale du feu, les hommes ont dû se replier pour éviter d’être piégés par les flammes. Pour l’heure, il n’est pas possible d’envisager une attaque de ces foyers ce soir. Le danger est en effet trop important pour les effectifs mobilisés.