Les employés des entreprises du groupe Caillé sont désormais fixés sur leur sort mais l’inquiétude reste entière car des suppressions de postes semblent inévitables. Le tribunal mixte de commerce de Saint-Denis accorde un nouveau sursis au groupe via l’acceptation du plan de sauvegarde sous sa forme première. Présenté hier par François Caillé et ses avocats, ce plan de sauvegarde prévoit l’étalement des dettes du groupe Caillé sur dix ans. Toutefois, cette décision doit être validée de façon définitive par les créanciers, le 13 septembre prochain.