Illustration-WITT-SIPA
La femme avait appelé les autorités en déclarant que son compagnon possédait un fusil. Un gros dispositif a immédiatement été mis en place.
Dans l’après-midi du dimanche 17 juillet, une agitation inhabituelle a gagné le village de Saint-Alban-Auriolles, dans l’Ardèche. Un peloton composé de 27 gendarmes a été mobilisé pour une dispute conjugale. La raison à cet important dispositif serait un appel de la femme aux autorités disant que son compagnon l’avait violentée et était en train de la menacer avec un fusil.
Sans perdre de temps, l’appel a circulé auprès des membres des forces de l’ordre et branle-bas de combat, ces derniers se déplacent dans la commune. Pendant une bonne heure, les gendarmes tentent de contacter le couple, en vain. Au moment où les membres des forces de l’ordre sont finalement décidés à défoncer la porte du domicile, le couple décide alors de les ouvrir.
Après une rapide inspection, les gendarmes ont conclu qu’il n’y avait aucune arme à l’intérieur. La femme aurait-elle donc halluciné toute cette affaire ? Que nenni ! En fait, c’est la forte consommation d’alcool des deux protagonistes de l’histoire qui a provoqué une dispute et ces propos inventés sur toute la ligne. Pour la peine, le village a été bloqué durant tout un après-midi. Les faits ne nous disent cependant pas ce qui est advenu du couple en question.
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