L’Assemblée nationale devait donner lundi soir son feu vert à la contribution française au "plan d’aide d’urgence" à la Grèce (16,8 milliards d’euros dont 3,9 dès 2010, sur un total de 110) dans un débat où le malaise d’une partie de la gauche voire de voix isolées à droite empêche l’unanimité.