La plateforme Pharos, dont le gouvernement veut renforcer les moyens, avait reçu en juillet un signalement du compte Twitter de l’assaillant qui a décapité un professeur à Conflans-Sainte-Honorine vendredi soir. Cependant, Le compte n’avait pas été suspendu, car il n’y avait pas d’alerte majeure sur un passage à l’acte. Explications sur cette plateforme avec Maëlys Erissy.